ISBN/EAN 978-2-9529970-8-9

20,00 EUR

Graphisme : Nombreux documents et photographies

360 pages

Format: 14 x 23

décembre 2013

Giono – Revue 2013-2014 – n°7

Dans le prolongement des Rencontres Giono 2013, la nouvelle livraison de la Revue Giono est largement consacrée à la relation méconnue de Giono avec la littérature nord-américaine, à laquelle il disait avoir « toujours été très attentif ». Au sommaire de ce numéro, se retrouvent les noms de Walt Whitman, Herman Melville, William Faulkner, Henry Miller et Edmund White. Influencé par Whitman et Faulkner, premier traducteur de Moby Dick en français, Giono fut l’ami d’Henry Miller, qui éprouvait une véritable « vénération » à son égard. En 2013, un autre écrivain américain, Edmund White, dit ici les raisons de son admiration pour l’œuvre de Giono, qu’il a entrepris de faire à nouveau connaître aux États-Unis, où elle est aujourd’hui oubliée.

Sommaire 

Hommage à Jacques Chabot 

Inédits de Giono :
– Correspondance Jean Giono-Henry Miller (1945-1951)
– Journal 1956-57 

Témoignage : Souvenirs d’Élise Giono (suite) 

Florilège : Jean Giono en portraits chinois 

Dans la bibliothèque de Giono :
– La littérature nord-américaine
– Giono lecteur de Faulkner par Jacques Mény 

Un écrivain lecteur de Giono : Edmund White 

Document :
Giono traduit et étudié aux Etats-Unis par Danièle Thévenin et Floryse Atindogbe 

Réception critique :
La traduction de Moby Dick (1941) par Michel Gramain 

Les belles éditions :
Giono illustré par Pierre Fonteinas (Gérard Amaudric) 

Cahier iconographique :
Pierre Fonteinas illustrateur de RegainFragments d’un déluge, Fragments d’un paradis et Le Cœur-Cerf 

Études critiques :
– Jean Giono-Walt Whitman : O Captains, my Captains ! par Jacques Le Gall 
– Pour saluer Melville
 de Jean Giono : portrait de l’artiste par lui-même
par Agnès Castiglione
– Giono traducteur de Moby Dick par Isabelle Génin
– La traduction de Moby Dick ou le grand filet provençal par Maïca Sanconie
– Le « Sud imaginaire » chez Giono, Faulkner et Michon par Maxime Aillaud
– Les Mexicaines du Paraïs par Julie Mallon 

L’année gionienne